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NYC chronicles - Les pissotières

Publié par le Mercredi 16 Août 2006, 07:51 dans la rubrique Bric à brac - Version imprimable

Source : Technorati

07/31/2006 In several playgrounds through Manhattan

Battery Park et la statue de la liberté(never reached because the tickets were sold out at 11.00 am) Mais où peut-on soulager sa vessie à Manhattan ? Aucun signe apparent de la présence des sanisettes Decaux ou assimilées, ni de toilettes publiques qui restent limitées à quelques sites tel Battery Park en face de la statue de la liberté. Les department stores comme Macys, les bibliothèques publiques et les grandes librairies comme Barnes & Noble sont autant de destinations qu’il faut garder en mémoire pour un voyage à New York. Mais lorsqu’on se trouve dans l’un des nombreux playgrounds de Manhattan avec un bouchon dont le regard est affolé, le visage crispé, la vessie contractée ou la fesse raide, il ne reste qu’une solution : l’arbre côté fesses et le foulard côté face. Diana Ross playground, 81st str. and Central Park West Assis sur le rebord du mur surplombant ce playground de Riverside Park, un homme au téléphone regarde cette scène stupéfait, ses trois enfants jouant non loin. Pour lui, ce bouchon semble un peu grand pour s’adonner à de telles pratiques. Ce qu’il ignore, c’est que les mères françaises ont l’habitude d’exposer leur progéniture aux regards des autres lorsque le besoin s’en fait sentir. A contrario, les mères américaines apprendront à leurs rejetons à retenir leur vessie. Playground at 110th str. and Malcom X Blvd C’est l’une de mes amies américaines qui m’avait fait remarquer cette différence culturelle. Elle en avait aussi noté une autre relative aux plages. Sur une plage française, elle m’avait fait part de sa surprise face à cette Technorati, en monokini et entourée de ses enfants. Aux États-unis m’avait-elle dit, le monokini ne pouvait être pratiqué que sur quelques plages seulement, où il était autorisé. Sinon il y avait les plages pour femmes « habillées » d’un deux-pièces ou d’un une-pièce, et celles pour les déshabillés intégralement. En Technorati, lui avais-je expliqué à l’époque, la distinction pour les plages ne se faisait qu’en fonction d’un seul critère : le port d’un élément de textile, aussi petit soit-il. Un simple fil traçant une frontière colorée dans la raie des fesses autorisait celle qui le portait à fréquenter les plages pour habillés. Puritanisme d’un côté, hypocrisie de l’autre. ######################## Pssitt: en faisant des recherches pour voir s'il existait une carte des toilettes publiques dans Manhattan, je suis tombée sur ce texte datant de 2005, pour l'égalité de l'accès aux toilettes entre hommes et femmes. Et puis aussi sur ce texte là. Apparemment, le piéton non travailleur et non résident souffre d'une discrimination très nette. Haut de page


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