L'idée
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Source : Lilou la Teigne
Comme on dit chez nous :
On est jamais mieux servie que par soit même
Voilà deux mois que je souffre des pieds, et nous savons tous combien il est important d'avoir deux pieds en bonnes états de fonctionnement.
Surtout quand vous passez la journée dessus à faire des milliers de petits pas.
Entre un œil de perdrix ( va savoir pourquoi ils ont donné un si joli nom à un truc aussi moche)d'un côté et un durillon sous la voute planterre de l'autre, que même pas je savais que l'on pouvait avoir ce genre de bidule à cette endroit.
On peut dire que j'ai été vernis, pas moyen de supporter une paire de chaussure, le seule bonheur de la journée rentrer à la maison et enlever les godasses pour qu'enfin je me sentes soulager.
Pas bien longtemps à vrai dire puisque très vite mes petits pieds d'amour souffraient du froid.
Pas besoin de vous faire un dessin si je vous affirme que mes jolis escarpins sont restés au placard pour les fêtes, mes pieds qu'en ils les ont vus se sont mis à hurler de désespoir rien qu'en imaginant la douleurs future.
Je souffre donc le martyre et encore le mot est faible depuis la mi décembre, tout cela avec le sourire, après tout ce sont mes pieds et à chacun son bagne.
J'ai bien imaginé un rendez vous chez monsieur podologue, mais rien que de penser au mal qu'il allait me faire j'ai laissé tomber l'idée et j'ai pris en main mes pieds.
Ben oui aux grands maux, les grandes solutions maison.
Voilà donc environ deux mois que je les fait mijoter un soir sur deux dans de l'eau salée, que je les frottes, que je les grattes et que je les enduits d'une crème grasse à souhait.
Mon œil de perdrix c'est envolé il y a un mois, et hier j'ai eu la peau de mon durillon grosse comme une pièce de 1 ct..
Ce matin c'est le pied léger et l'âme sereine que je suis partie au boulot, appréciant chaque pas sans douleur comme une jeune fille devant sa première robe de bal.