Bloggeuses !

L'idée

Ce blog regroupe les articles publiées par des bloggeuses. Inscrivez-vous pour pouvoir ajouter des weblogs à la liste des weblogs tenus par des femmes qui ne sont pas des suivi de vie/journaux intimes.

J’ai lu “The Night Watch”

Publié par [moi] le Jeudi 25 Octobre 2007, 00:30 dans la rubrique Bric à brac - Version imprimable

Source : Technorati

“Londres, 1947. Quel fantôme du passé hante Helen qui subit, désemparée, le lent délitement de sa liaison interdite avec Julia, une jeune auteur à succès rencontrée pendant la guerre ? Pour quelles raisons Kay, une ancienne héroïne du Blitz, erre-t-elle désormais, inconsolable, dans les rues de la ville ? Pourquoi Viv, une jeune Technorati douce et glamour, ne parvient-elle pas à quitter son amant, un ancien soldat marié et père de famille ? Quel secret cache Duncan, l’intrigant petit-frère de Viv, en se réfugiant dans le Technorati de l’ Technorati et en refusant tout échange avec l’extérieur ? Remontant le cours des vies de ces quatre personnages jusqu’aux terribles mois du Blitz, Sarah Waters distille peu à peu les événements et les sentiments qui unissent Kay, Helen, Viv et Duncan, eux que rien ne semble devoir lier dans ce triste Londres d’après-guerre, si ce n’est la difficulté à surmonter le souvenir des privations et des souffrances endurées. Ce faisant, elle plonge le lecteur dans un jeu de piste palpitant aux multiples rebondissements, car la guerre semble avoir façonné d’étranges alliances...” Je pense que j’ai assez potsponé l’écriture de ce billet, non ? Pourtant, même si je ne suis plus sur le point de laisser exploser parler toute ma frustration au risque d’avoir des termes un peu rudes envers l’auteur et l’oeuvre; celle-ci n’a pas entièrement disparu. Parce que oui, cette fois c’est de le frustration et rien d’autre. Mais j’assume ! Bon. En essayant d’y revenir froidement disons que ce n’est pas un mauvais roman. Non. Ca se laisse lire. Tranquillement. Les histoires tiennent la route et même si je préfère quand elle situe son action dans l’Angleterre victorienne; on retrouve ici, intact, son talent de conteuse pour décrire le Londres des dernières années de la seconde guerre mondiale. Cependant, pour le coup, Waters ne change pas seulement d’époque mais aussi de style. Fini le roman à la première personne où son héroïne nous entraînait dans les méandres des doutes et des interrogations préalables à la découverte de ses sentiments au gré des événements. Ici l’auteur “étrenne” un récit à la troisième personne probablement pour faciliter la narration de ces multiples histoires (autre nouveauté) et de ces destins qui s’entrecroisent. (more…)


Article précédent - Commenter - Article suivant -