L'idée
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Source : Le blog de moi 
Pfffffffffffffffffffffff… Excusez-moi mais rien d’autre ne me vient pour ma traditionnelle intro.
“Le troisième épisode de la saga La Momie nous transporte cette fois en Asie pour une nouvelle aventure qui verra Rick O’Connell et les siens livrer un combat sans merci à l’Empereur Dragon. Des catacombes de la Chine antique aux sommets de l’Himalaya, l’explorateur intrépide, son jeune fils Alex, sa femme Evelyn et son beau-frère Jonathan affronteront la Momie ressuscitée du plus cruel conquérant de Chine.
Victimes d’une sorcière maléfique, l’Empereur Dragon et ses 5000 soldats ont été relégués pour l’éternité dans les limbes. L’immense armée de terre cuite reposera ainsi durant 2000 ans, oubliée de tous, jusqu’à ce qu’Alex commette l’erreur de réveiller son chef. Pour éviter une vague de méfaits, Rick devra appeler à la rescousse les seules personnes plus habiles que lui à combattre les morts-vivants : sa propre famille…”
Stephen Sommers avait su rendre cette saga intéressante dans le genre “divertissement grand public pop-corn” à défaut d’en faire un chef d’oeuvre du 7ème art ; Rob Cohen, lui, l’entraîne dans la tombe sans même prendre la peine de la momifier !
Ridicule. Le film est ridicule. Ridicule d’une part parce que le scénario ne tient pas (mais vraiment pas) la route, quand il n’est pas délirant au sens péjoratif du terme - des yétis ??? tchiiiiiiip - et d’autre part parce que les acteurs ne sont pas très inspirés quand ils ne surjouent pas carrément. Jet Li et Michelle Yeoh ? Oui ils figurent au casting… Rien à sauver même en matière de scènes d’action.
Allez, je n’ai même pas envie (ni le courage) de vous en parler plus que ça, c’est dire ! Jean-Philippe Tessé de Chronicart.com est plus courageux que moi mais il est certainement payé pour !
“(…) Tout cela fait du film un divertissement tirant périlleusement vers la fin de l’alphabet. Mais presque attendrissant, dans sa façon de tout rater. Attendrissant surtout parce qu’il est entièrement offert à son agent comique (Jonathan, le beau-frère couard du héros), pauvre bougre condamné à n’apparaître que dans des inserts, où il doit commenter l’action et faire rire. L’indigence de ses punchlines totoches, puériles, inoffensives mais indignes des blagues de télé Z - elles se résument pour l’essentiel à « oh non ! pas des momiiiiiiies ! », « vous n’allez pas refaire le coup de la momie qui se réveille ?! » ou, dans un registre radicalement différent : « ah, j’en ai assez des momies ! » - en fait l’emblème du film, et lui vaut naturellement de le conclure, par la grâce de la chute qui est, allez on le dit, sans doute la plus plate de l’histoire du cinéma.”
Indiana Jones peut dormir sur ses deux oreilles.
Conclusion ? Ne faites pas comme nous, attendez sagement la sortie du dernier “Batman” où allez voir autre chose. Non parce que sinon, les studios continueront à confier des projets à Rob Cohen et vraiment ça ne peut plus durer…
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