L'idée
Ce blog regroupe les articles publiées par des bloggeuses. Inscrivez-vous pour pouvoir ajouter des weblogs à la liste des weblogs tenus par des femmes qui ne sont pas des suivi de vie/journaux intimes.J’ai vu “Mamma Mia !” et je l’ai trouvé rafraîchissant à souhaits !
Source : Le blog de moi
Romantique. Kitch. Pêchue. Drôle. Servie par une B.O. d’enfer (testée et approuvée worlwide pour aboutir au chiffre faramineux de 400 millions de supports vendus dans le monde pour ABBA). Que demander d’autre à une comédie; musicale de surcroît ? “C’est en 1999, sur la ravissante île grecque de Kalokairi que l’aventure romantique commence, dans un hôtel méditerranéen isolé, la villa Donna, tenu par Donna, sa fille Sophie et le fiancé de Sophie, Sky. Juste à temps pour son mariage prochain, Sophie poste nerveusement trois invitations destinées à trois hommes bien différents dont elle pense que l’un d’eux est son père. De trois points du globe, trois hommes s’apprêtent à retourner sur l’île - et vers la femme - qui les avait enchantés 20 ans auparavant.” Je sais qu’il est sorti début septembre sur les écrans de France et de Navarre et que je vous sers une “critique” réchauffée mais si comme moi vous n’avez plus le temps matériel de mettre les pieds dans une salle de cinéma ô rage, ô désespoir ! et que le complexe ou, plus rare de nos jours, la petite salle à côté de chez le programme encore: n’hésitez pas ! En ces temps de morosité ambiante, voir Meryl Streep s’amuser et se prendre au jeu comme ça c’est que du bonheur . Et puis invariablement vous vous retrouverez à battre la mesure du pied ou/et de de la tête à un moment où un autre sans même penser à maudire l’inconscient collectif… Y’a même un sample de Madonnna à un moment ! Si, si ! Non, blague à part, on a beau dire, leur musique n’a pas pris une ride et n’en prendra jamais s’il n’en tient qu’à moi. Pas une. Et puis la traduction permet de rendre hommage aux textes de Björn Ulvaeus (un des deux B de l’acronyme). Qu’en dire d’autre sinon ? Je crois que c’est le genre de film à qui je suis prête à tout pardonner tellement il m’est éminament sympathique. Oublié la pellicule un brin surexposée (parfois j’ai penser à mettre mes lunettes de soleil), les quelques errements du scénario et le jeu inégal des actrices (Meryl oui, Julie Walters et Christine Baranski un peu moins). Pardonné les personnages stéréotypés et la critique un brin caricaturale de certaines valeurs très puritaines. Bref. Je n’ai juste pas envie de m’attarder sur ces aspects là du film… Et puis Amanda Seyfried est à croquer. Zut, il donne juste envie d’aller en Grèce (un contrat avec l’office local du tourisme peut-être ?) avec “ABBA Gold” dand l’i-pod ! Pas étonnant que les ventes de la compilation ont explosé partout où le film est sorti.