L'idée
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Source : Le blog de moi
Malheureux. Malheureux. Malheureux. “Hanté par un secret, Ben Thomas cherche sa rédemption en transformant radicalement la vie de sept personnes qu’il ne connaît pas. Une fois son plan mis en place, plus rien ne pourra l’arrêter. C’est tout du moins ce qu’il croit. Mais Ben n’avait pas prévu qu’il tomberait amoureux de l’une de ces personnes et que c’est elle qui va le transformer… ” Malheureuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuux. Malheureux. Malheureux. Malheureux, il est Will Smith dans ce film… d’où son air un peu constipé (si, si !) sur l’affiche. En fait, rassurez-vous il n’a aucun problème à ce niveau là (enfin pas qu’on sache) il est juste malheureux (mais je l’ai déjà dit ça je crois). Le “problème” c’est qu’on ignore le pourquoi du comment et qu’au bout d’un moment, malgré les tentatives flash-backesques de Gabriele Muccino de nous tenir en haleine quant au drame qui rend notre héros aussi constipé malheureux et qui motive désormais ses actes c’est le spectateur que le film rend chagrin. Je décode ? Son côté mélodramatique exacerbé (et c’est un euphémisme) peut le rendre indigeste. Surtout qu’il dure un peu plus de 2 heures ! J’avoue m’être demandé, en cours de séance (dans un moment d’oubli), si le réalisateur était français dans l’acception péjorative que peut revêtir l’expression “film français” quant il s’agit de décrire un film un peu lent, se voulant subtil mais ne parvenant qu’à être obscur et donc rapidement un peu chiant. Par contre, je ne fais pas partie de ceux qui disent qu’il n’y a rien à en tirer même si la première partie du film donne vraiment envie de hurler avec la meute pour les raisons que je viens d’évoquer. Il se trouve que l’histoire d’amour entre et Emily Posa (Rosario Dawson) et Ben Thomas (Will Smith) sauve, à mon avis, la seconde partie du film. Mais je suis une incorrigible romantique… Harrelson, lui, est méconnaissable et incroyable de présence d’où quelques regrets quant à ses trop rares scènes. Conclusion ? Disons que le moitié de la séance a tiré son mouchoir alors que l’autre moitié tirait… la tronche. A vous de voir. Par contre Will il serait judicieux que tu ré-écoutes “No more drama” de Mary J. Non, ça suffit maintenant. Sérieusement. On sait que tu sais jouer autre chose que la comédie. On a compris !