L'idée
Ce blog regroupe les articles publiées par des bloggeuses. Inscrivez-vous pour pouvoir ajouter des weblogs à la liste des weblogs tenus par des femmes qui ne sont pas des suivi de vie/journaux intimes.J’ai vu “Volt, star malgré lui” et quelques temps après j’ai vu “La légende de Despereaux”
Source : Le blog de moi
Où comment signer un billet 2 en 1 (”wash and go” pour les intimes)… Synopsis du premier ? “Pour le chien Volt, star d’une série télévisée à succès, chaque journée est riche d’aventure, de danger et de mystère - du moins devant les caméras. Ce n’est plus le cas lorsqu’il se retrouve par erreur loin des studios de Hollywood, à New York… Il va alors entamer la plus grande et la plus périlleuse de ses aventures - dans le monde réel, cette fois. Et il est convaincu que ses superpouvoirs et ses actes héroïques sont réels… Heureusement, Volt va se trouver deux curieux compagnons de voyage : un chat abandonné et blasé nommé Mittens, et un hamster fan de télé dans sa balle de plastique appelé Rhino. Volt va découvrir qu’il n’est pas nécessaire d’avoir des pouvoirs extraordinaires pour être un vrai héros…” Le second ? “Il était une fois un royaume enchanté, peuplé de gens éternellement heureux, dont le plus grand plaisir était de déguster chaque soir la soupe la plus succulente du monde . Mais un tragique accident enleva un jour la Reine à l’affection de ses sujets, laissant le Roi à jamais inconsolable. Sa fille, la Princesse Petit Pois, se languissait, ainsi que le bon peuple, soudain privé de soupe… L’espoir renaît lorsque vient au monde une petite souris aux très grandes oreilles : Despereaux Tilling. D’emblée, celui-ci se distingue par sa bravoure et ses ambitions démesurées. Despereaux rêve grand, très grand au regard de sa taille. Il se voit en chevalier, fer raillant contre d’horribles dragons et sauvant de belles princesses en détresse. Mais le monde des souris n’est pas porté sur le rêve. Notre héros n’a pas sa place dans cette société craintive, soumise et conformiste. Banni, il échoue dans le monde des rats, où la lumière ne pénètre jamais. Dans cet univers fétide, cruel et malodorant, il fait la connaissance d’un autre marginal : le rat Roscuro, gourmet sophistiqué et grand voyageur. Le rat et la souris deviennent amis jusqu’au jour où Roscuro, repoussé par la fille du Roi, dont il recherchait l’amitié, se ligue avec la servante Mig, qui rêve d’évincer Petit Pois. Enlevée par ce couple malfaisant, la Princesse ne peut compter que sur le courage du petit Despereaux. Arrivera-t-il à la sauver et à rendre au Royaume son éclat et sa joie de vivre ?” Deux films d’animation donc… mais c’est tout ce qu’ils ont en commun. Ils ne jouent tout simplement pas dans la même catégorie (le budget y étant pour beaucoup). D’un côté on retrouve un blockbuster bien ficelé qui récite ses gammes (personnages attachants, scénario qui va bien, effets d’animation léchés et rythme maîtrisé) et de l’autre un film sans prétention sinon peut-être de se rêver “la bonne surprise du moment”. Pas besoin d’entretenir le suspense je suppose: j’ai adoré “Volt” et ses gags qui font mouche (et dans ces cas là, je ne suis juste intenable en cours de séance) alors que “Despereaux” m’a semblé désespérément long et ennuyeux. Aucune magie. Pas subtil pour un sou. Rien. Si vous rajoutez à cela un graphisme plutôt bof auquel je n’ai pas adhéré… Alors certes, il sort des sentiers commerciaux (quelle autre carte pouvait-il jouer ?) mais pour ce résultat là… non. Pas pour moi… ni pour le petite fille de 4 ans qui m’accompagnait. A trop vouloir sortir des sentiers battus il s’est peut-être perdu en route. Un scénario moins méandreux aurait peut-être aidé qui sait. J’ai lu ça et là qu’il faisait penser aux anciens Disney… Je ne suis pas convaincue mais je veux bien. Il me semble juste que le public a évolué et attend autre chose de ce genre de divertissement. Bref. Par contre, en parlant de Disney, le dernier, lui, “Volt” en l’occurence, est une vraie réussite. On sent la patte du new boss j’ai nommé Monsieur “film d’animation” John Lasseter. Oscar mérité. Véritable coup de coeur pour Mitaines personnage androgyne par excellence puisqu’il semble que son sexe fasse encore débat. Pour moi c’est une femelle même si à l’origine du projet le personnage est un mâle.