L'idée
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Source : Le blog du bouchon 
Et voilà ! Deux mois tout juste après l'angine, le bouchon repart pour une série toux - maux de tête - douleurs abdominales - fièvre.C'est en tentant de remettre le thermomètre sur des degrés Celsius alors qu'il était passé en degrés Farenheit, que je me suis posée la question suivante :Si l'élévation de la température correspond à un moyen qu'a le corps pour lutter contre les micro-organismes pathogènes, pourquoi donne-t-on des antipyrétiques pour diminuer la température ? A priori, cela va à l'encontre des mécanismes corporels : vasoconstriction (diamètre des vaisseaux sanguins se reserrant), tremblements et frissons font augmenter la fièvre, vasodilatation et sueurs la font diminuer.Cela permettrait-il peut-être de garantir une augmentation non dangereuse pour le corps si la température va au-delà de 41°C ?L'agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a réactualisé sa position sur le sujet il y a deux ans. Un traitement n'est nécessaire qu'au-delà de 38,5°, et les anti-inflammatoires de type non stéroïdiens (AINS) ne doivent pas être donnés si l'enfant présente un risque de déshydratation (vomissements ou diarrhées), l'aspirine doit être évitée en cas d'infection virale.Les questions & réponses de l'Afssaps sur la fièvreL'université médicale de RennesPrise en charge de la fièvre chez l'enfant, Afssaps (agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), janvier 2005Réponse plus tard, quand j'aurai récupéré de cette nuit où la prise de température s'est faite toutes les trois heures.
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