L'idée
Ce blog regroupe les articles publiées par des bloggeuses. Inscrivez-vous pour pouvoir ajouter des weblogs à la liste des weblogs tenus par des femmes qui ne sont pas des suivi de vie/journaux intimes.Une histoire de cookies
Source : Carnet de bord
Bon. Alors. Kowalsky m’a fait part l’autre jour (à sa façon à lui…) d’un souci qu’il avait vis-à-vis du plugin coComment que j’ai installé sur ce blog . Pour faire bref, coComment permet de suivre les conversations, càd les commentaires que je laisse sur tous les blogs que je visite et les commentaires que vous laissez sur ce blog -ci. Le problème est que coComment - comme beaucoup de sites ou fonctionnalités sur le Net, exige qu’on accepte les cookies, ces petits fichiers qui se créent sur votre pc et contiennent certaines informations. Or Kowalsky, les cookies, il aime pas ça, il n’en veut pas (peur pour sa ligne ?). Du coup, depuis que j’ai installé coComment sur ma planète, il ne pouvait plus laisser de commentaire. Refuser les cookies, c’est son problème. Mais comme il a râlé, c’est devenu mon problème. Et j’aime pô les problèmes. A la défense de Kowalsky, il est vrai que ce n’est pas très juste d’empêcher un visiteur de laisser un commentaire sous prétexte qu’il ne veut pas utiliser un outil que j’ai installé. Donc, même si je l’ai envoyé paître (si si, je sais faire ça), j’ai quand même laissé un mot sur le forum de coComment pour signaler le problème. Et l’équipe de coComment étant fort sympathique et efficace, on m’a répondu que le problème allait être réglé le plus rapidement possible. Et c’est vrai: maintenant, si vous avez configuré votre navigateur pour qu’il refuse les cookies (en particulier les 3rd party cookies - càd les cookies provenant d’un site autre que le site sur lequel vous êtes) et que vous laissez un commentaire sur ma planète, vous aurez un message disant “Looks like you disabled cookies. To use coComment client, please update your settings to allow remote domain cookies”. Vous cliquez alors sur OK et votre commentaire sera enregistré. Voilà. Kowalsky, alors, heureux ?